Le 7 mars 2024, la Commission terminait le suivi de l’application des recommandations sur les nominations à des emplois occasionnels de moins d’un an dans cinq ministères et organismes.
Au vu des informations obtenues, la Commission considère que le Directeur aux poursuites criminelles et pénales (DPCP) n’a pas réalisé de progrès satisfaisants pour la mise en œuvre des recommandations. Elle invite donc le DPCP à poursuivre leurs efforts et elle procédera à nouveau au suivi de ces recommandations au cours de la prochaine année.
Au vu des actions entreprises par le ministère de la Sécurité publique, la Commission considère qu’il a réalisé des progrès satisfaisants dans la mise en œuvre des recommandations qui lui avait été formulées.
Le 17 juin 2024, la Commission terminait le suivi de l’application des recommandations découlant d’une vérification ponctuelle, qui portait sur les nominations à des emplois occasionnels de moins d’un an au Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP).
Au vu des actions entreprises par le DPCP, la Commission considère qu’il a réalisé des progrès satisfaisants dans la mise en œuvre des recommandations qui lui avaient été formulées.
Le 11 mars 2024, la Commission terminait le suivi de l’application des recommandations découlant d’une vérification ponctuelle, qui portait sur le respect du classement du personnel professionnel au ministère de l’Enseignement supérieur (MES).
La Commission a analysé les informations qu’elle a reçues du MES. Toutefois, elle considère qu’il n’a pas réalisé de progrès satisfaisants dans la réalisation de l’une des recommandations qui lui avaient été formulées. Elle l’invite donc à poursuivre la mise en œuvre de celle-ci, laquelle fera à nouveau l’objet d’un suivi à l’automne 2024.
Le 16 octobre 2024, la Commission terminait le suivi de l’application des recommandations découlant d’une vérification ponctuelle, qui portait sur le classement du personnel professionnel au ministère de l’Enseignement supérieur (MES).
Au vu des actions entreprises par le MES, la Commission considère que l’entité a réalisé des progrès satisfaisants dans la mise en œuvre de la recommandation qui lui avait été formulée.
Le 17 juin 2022, la Commission a transmis au ministère de la Famille (MFA), au ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs (MFFP), au ministère des Finances (MFQ), au ministère de la Sécurité publique (MSP) et à Régie des alcools, des courses et des jeux (RACJ) les résultats d'une vérification ponctuelle portant sur l’attribution de la rémunération des cadres. L’objectif était de s’assurer du respect du cadre normatif en matière d’attribution de la rémunération, notamment de la Directive concernant l’ensemble des conditions de travail des cadres.
La Commission a examiné 72 dossiers.
Réviser le dossier qui comporte une erreur dans l’attribution de la rémunération.
Mettre en place des mécanismes afin de consigner au dossier de l’employé les documents ayant servi à la révision du traitement.
Mettre en place des mécanismes afin de consigner au dossier de l’employé les documents à jour ayant servi à sa nomination.
Mettre fin à la nomination non conforme selon la Directive concernant l’ensemble des conditions de travail des cadres et l'article 1 de la Directive concernant les emplois occasionnels de la fonction publique.
En octobre 2022, la Commission terminait le suivi de l’application de la recommandation au ministère des Finances. Au vu des actions entreprises par ce ministère, la Commission considère qu’il a réalisé des progrès satisfaisants dans la mise en œuvre de la recommandation qui lui avait été formulée.
En juillet 2023, la Commission terminait le suivi de l’application des recommandations au ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs et au ministère de la Sécurité publique. Au vu des actions entreprises par ces ministères, la Commission considère qu’ils ont réalisé des progrès satisfaisants dans la mise en œuvre des recommandations qui leur avaient été formulées.
Mise à jour du 28 août 2023
Le 15 juin 2022, la Commission a transmis au ministère de la Justice du Québec (MJQ) les résultats d'une vérification ponctuelle portant sur l’attribution de la rémunération des avocats et des notaires. L’objectif était de s’assurer du respect du cadre normatif en matière d’attribution de la rémunération, notamment de la Directive concernant l’attribution de la rémunération des fonctionnaires et des dispositions de la Convention collective des avocats-notaires 2010-2015 (Convention) en ce qui a trait aux modalités d’avancements d’échelons et d’accès au niveau expert. La Commission a examiné 138 dossiers.
Tous les dossiers vérifiés ont été considérés comme conformes en ce qui a trait aux conditions d’admissibilité qui exigent, pour être admis à la classe d'avocat et notaire, qu’un candidat soit inscrit au tableau de l'Ordre des avocats du Québec ou de l'Ordre des notaires du Québec.
Le formulaire d’évaluation annuelle du rendement, aux fins d’avancement du dernier échelon, était manquant dans 51 % des dossiers des personnes se situant dans les échelons 1 à 18. Ainsi, le MJQ n’a pu confirmer que les juristes ont fait l’objet d’une évaluation annuelle démontrant un rendement satisfaisant.
Parmi les 31 dossiers se situant au niveau expert, le formulaire d’évaluation du rendement justifiant l’accès à ce niveau était manquant dans 58 % des dossiers. Dans 19 dossiers sur 31 (61 %), un courriel de rappel a été envoyé aux gestionnaires par la Direction des ressources humaines lorsque le juriste est près d’atteindre les deux ans requis pour accéder au niveau expert, ce que la Commission considère comme une bonne pratique. Ce courriel demande une recommandation écrite, mais il y est suggéré aux gestionnaires d’attester leur satisfaction en répondant par un simple courriel. Cette façon de faire contrevient aux dispositions de la Convention en ce qui concerne l’évaluation du rendement et l’accès au niveau de juriste expert. Si les parties décidaient de simplifier le processus, celui-ci devrait être officialisé dans les conditions de travail.
Parmi les 138 dossiers analysés, 73 avaient un horaire majoré. Pour 16 d’entre eux, le document justificatif était manquant ou les raisons invoquées pour octroyer l’horaire majoré ne correspondaient à aucune des dispositions prévues à la Convention.
La description d'emploi (DE) était manquante dans 64 dossiers (46 %). Pour les 74 dossiers ayant une DE, 65 (87 %) étaient incomplètes (non signée, non datée, non évaluée ou une combinaison de ces situations). Enfin, 28 DE (38 %) dataient de plus de dix ans. La Commission considère comme une bonne pratique le fait qu’une DE soit mise à jour avant de doter l’emploi ou, minimalement, aux dix ans. En effet, des situations récurrentes peuvent modifier les tâches d’un emploi, par exemple : les évolutions technologiques, les changements de structure administrative, les modifications normatives, la main-d’œuvre disponible ou les besoins de l’organisation.
Le 21 juillet 2023, la Commission terminait le suivi de l’application des recommandations découlant de cette vérification ponctuelle.
Au vu des actions que le MJQ a déjà entreprises, la Commission considère qu’il a réalisé des progrès satisfaisants dans la mise en œuvre des recommandations qui lui avaient été formulées.
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